Il doit faire 24 degrés dehors, la température ambiante idéale pour l'être humain, ni trop chaud, ni trop froid. Il fait nuit depuis maintenant deux heures trente-cinq minutes, et je suis là, à attendre je ne sais quoi dans cette pièce inconnue.
Une drôle de pièce en plus de cela! Elle ressemble à un gros carré blanc d'environ 4 pas de larges, mais bon je ne suis pas très grand de taille, alors ce sont quatre petits pas! Une porte blanche et au dessus d'elle, il est écrit en lettres d'or - Les Limbes -
À ma droite se trouve une bai vitrée qui se prolonge derrière moi, les lumières des gratte-ciels coulent sur le sol vierge, de toute poussière et autre déchets. Un mélange de sérénité et d'intrigue règne en moi, comme si la perfection trop poussée de cet endroit me mettait mal à l'aise, de peur que le moindre mouvement vienne tout déséquilibrer.
La seule chose dont je me souviens reste son visage. Nos regards se sont croisés lors d'une excursion avec mes parents le mois dernier. Il ne s'est rien passé, je ne lui est dis que merci et elle m'a répondu de rien. Mais ses yeux m'ont perforés du plus profond de mon être, bleu comme l'eau aux Baleines.
Je sors de ma rêverie pour examiner cette porte devant moi, elle aussi épurée de tout flafla*. En me levant, je m'aperçois que des traces de doigts sont présentes sur la poignée, signe que je ne fut pas le seul, ou peut-être que je ne suis pas seul.
À présent debout devant la porte, je regarde mes mains qui tremblent de plus belle. Je suis partagé entre le désir d'avancer et peut-être retrouver cette personne, ou rester là où je suis, à l'abri.
Que Dieu me protège, Il sera certain que je n'avais aucune mauvaises intentions en ouvrant cette foutue porte! Ma main se pose sur la poignée, avec résignation je tourne, le décliquetage se fait.
Soudain, sans aucun autre geste, je me retrouve dans un désert aride au sable noir, et au ciel rouge. Ce sont des dunes à perte de vue qui font office de paysage, un triste et sombre spectacle.
Et pourtant, malgré cette désastreuse vision, rien ne semblait chaotique, comme si je venais d'entrer dans une anti-chambre. Un lieu ou l'espace et le temps ne prennent rien en compte, seul maîtres de ce no-mans land.
J'avance de quelques pas, et soudain, mon pied heurte quelque chose.
Une porte dans le sol, intrigante et désirable, à la différence de l'autre, la poignée est verte.
Je me penche et ouvre, un escalier semble se dérober sous terre, sombre et livide, je descend ou pas?
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Notes au Lecteur que vous-êtes.
* Limbes - Lieu entre la terre et les enfers. (Plus d'info sur Wikipédia)
* Flafla - Mot d'origine inconnue aussi utilisé dans [cette photo]
À suivre...
La douce limite entre la politesse et l'hypocrisie est facilement franchissable. Tout comme celle de l'amour et de l'amitié, comme tout en fait. C'est en partie, ce qui rend la vie attrayante, car l'on peut manipuler les règles à volonté.
La différence est que, nous n'avons pas le droit au bouton [Reset]
En fait, je suis dans la recherche d'inspiration depuis quelques jours, juste assez pour me faire pondre un texte. Je pourrais utiliser le temps de merde qui nous fait entrave depuis deux, trois semaines.
Pour être franc, ce sont mes sentiments amoureux qui me font écrire de temps à autre. Si bien que je ne fais rien ces temps-ci à part bosser la semaine, plus vraiment de vie sociale.
Je suis partagé entre la peur d'aller vers une quelconque personne, une quidam, et pourtant je me fous royalement de mon aspect physique, mes cheveux sont la plus belle représentation de mon état: un laisser aller royal.
Peut-être que la prochaine histoire sera celle d'un homme dans une chambre blanche, la nuit. Par la fenêtre il peut voir les buldings éclairés. Tandis que devant lui, se trouve une porte, où il est inscrit en lettres d'or: Les Limbes
Libellés : Dante Limbes Inspiration
Arrivé ce matin avec Roger.
Un homme dans la cinquantaine, cheveux assaisonnés, grand de plus de deux têtes que moi. On embarque dans la voiture, un camion de la mairie pour l'entretien du paysage.
En silence, il regarde devant lui, tourne une fois à gauche, une fois à droite et prend le pont, tourne de nouveau à droite et arrive devant l'Aréna*.
- On va s'occuper de laver la piscine municipale aujourd'hui, me dit-il en me souriant. Il pleut comme vache qui pisse comme aurait dit Marcel, ce bon vieux Marcel. Mon regard se tourne en direction de la portière, la pluie coule à pouvoir nourrir bon nombre d'assoiffés.
- Tiens, prends ça, c'est ben résistant, pis pratique aussi. J'acquiesce alors, je prends sa combinaison orange fluo, que diable, je dois avoir l'air d'une lumière de noël ambulante.
Je sors du camion et je mets mon capuchon, il fait de même. Je sens que la journée va être étrange, autant en image qu'un vide de conversation, ah oui, Roger est mal-entendant qu'il m'a dit.
Il s'approche du grillage qui entoure la piscine, regarde à gauche, à droite et fini par se retourner vers moi, il me fait signe de m'approcher. Je m'exécute sur le champ et je rapproche mon oreille pour l'écouter.
- Hans, habituellement, c'est plus calme par temps de pluie, mais fais attention, tu le sais, ils sont voraces cette gang de criss. Prends cette pèle, s'ils te gossent, vas-y ben fort.
Bien entendu, je le sais, ce n'est pas la première fois qu'ils ont affaire à moi, en fait, c'est l'inverse, ce n'est pas la première fois que je vais faire avec eux.
Le cadenas se laisse tomber sur le sol, rebondi, le temps semble ralentir autour de moi, je ne sais pas combien ils seront aujourd'hui, mais l'entretien va être enrichissant. C'est vrai, c'est la première fois que je vais affronter sur un tel terrain.
- Attends moi, on va aller sur le terrain de soccer avant, on viendra s'abriter ici si tout se décriss.
- D'accord, pas de problème, je t'attends devant les buts.
Il ferme la porte du grillage, rentre dans une autre porte dans une bâtisse à sa droite et prend des clés, ainsi qu'une batte de base-ball, Roger n'aime pas les armes à feu, mais il prend un 9mm, au cas où, comme je dis.
Le temps se fait de plus en plus lourd, au fur et à mesure que j'avance au milieu du terrain, Roger arrive, je plante la pelle dans le sol, en attendant que ces ordures arrivent.
Aucun bruit, sauf celui de la pluie, le bruit de l'attente, long et agonisante. Roger sait aussi bien que moi que ce n'est pas le moment de parler, mais tant pis, il déroge à la règle non-écrite.
- Ha ouin, sa fait combien de fois que tu...
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que des grognements se font entendre par de là le champ en face de nous, les herbes hautes bougent de temps à autre. Je me retourne alors! Derrière moi se tient la première carcasse, la première charogne, elle est là, car c'est une femme, du moins c'était.
Elle avance, elle s'est déjà pris un coup de flingue dans le bras gauche, à la vue de l'absence de ce dernier, elle fait un bruit rauque, à la manière des acteurs qui la reproduisent dans les films d'horreurs. Une blonde à la robe rouge, elle doit être encore toute nouvelle, sa peau n'est pas totalement décomposée.
Je retire ma pèle du sol et m'approche, son visage - je ne dis pas regard, car elle n'a plus rien d'humain- suit ma pèle, je la lève bien haut, arme mon coup et frappe dans son coup avec le tranchant de la lame.
- ET DE UN! Dis-je, mais Roger était déjà à son cinquième...
Je me dis alors que la pèle, c'est bien cinq secondes, mais sa ne vaut pas mon bokken* que j'ai laissé à la maison, prochain coup, je l'apporte.
Devant moi, un vieil homme dans la cinquantaine armé d'une batte de base-ball, qui est déjà son dixième cadavre, mon dieu, il faut pas que je perde face à lui aujourd'hui...
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Notes au Lecteur que vous-êtes.
*Aréna, patinoire sur glace pour le hockey, en milieu fermé (Plus d'info sur Wikipédia)
* Bokken (木刀) veut littéralement dire Sabre de Bois (Plus d'info sur Wikipédia)
À suivre...
Libellés : pèle bokken 木刀 Aréna
Je n'ai pas retrouvé la feuille de ce texte, de cette nouvelle littéraire. Le souvenir fut vif et perturbant, je ne sais plus trop comment, mais je crois que c'est lorsque je vis deux jeunes hommes de 17/18 ans s'embrasser.
Le récit suivant n'a peut-être rien de concret et je ne crois pas qu'il y a des signes à en tirer. J'apprécie avec autant d'ardeur tout cet amour déviant, c'est beau, c'est gore.
Le texte original me fait défaut, alors je vais tenter de le reproduire de mémoire en prenant exemple sur mon récit précédant.
Bonne Lecture.
N'oubliez pas la musique
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La nuit fut agitée. Il y avait des bombardements, encore et encore. Cela fait maintenant une semaine que c'est comme ça. Une semaine que très rarement, je fous mon nez hors de ce petit deux et demi miteux de Berlin.
Sur le bord de ma fenêtre qui donne sur la rue, la seule fenêtre. Je vois des gens qui passe, matin, midi et soir. Des jeunes gens, des jeunes hommes, des jeunes femmes. Le laitier daigne encore à laisser une bouteille de lait devant la porte de l'immeuble pour moi, pauvre fou.
Encore une journée passe.
Encore une saison.
L'automne est là.
Le ciel est gris aujourd'hui. Je mets mon manteau, manteau lourd et chaud. Ma mère m'a toujours dit qu'il ne fallait pas sortir dehors sans manteaux. Paix à son âme.
Manteau, écharpe et je suis parti.
À peine j'ouvre la porte que des effluves nouvelles me viennent aux narines. Ces quelques jours passés en solitaire dans mon appartement au troisième m'ont fait oubliés un nombre incalculable de choses.
Cet escalier commence à se faire vieux. Sa couleur beige trop salis par le temps indique que je ne suis pas le seul à monter et descendre ces escaliers. Dehors, la pluie commence à faire mouche, les nuages sont lourds et grisâtres, rien de bon pour mon moral boiteux.
Il pleut, sa y est. J'hésite à affronter ce mur devant moi, il pleut comme vache qui pisse aurait dit Marcel, mon amis français. Le caniveau déborde et l'eau prend gentiment la place sur le trottoir.
Je ne sais pas pourquoi je sors de mon abri. Alors s'abat sur moi un torrent chaud et pas plaisant. Mon front ruisselle, mes cheveux alors léchés se décoiffent et s'installent pèle-mêle sur mon crâne.
Je cours jusqu'à un porche quelques immeubles plus loin, trempé jusqu'à l'os. Ma carcasse s'appuie contre le pan droit de la cage d'entrée. Je respire fort, mon souffle se transforme en petite bouffées blanches au contact de l'air.
Quand soudain, elle passe à côté de moi, un enfant tient sa main blanche couleur soie.
À suivre...
Libellés : Intra Muros
Une journée seulement.
Depuis maintenant un soir et une journée je suis de retour dans ce qu'on appelle une peinture. Ce genre de lieu dont tu as beau revenir dans vingt ans, trente ans ils resteront les mêmes. Même maisons, même voiture, même vie.
Débarqué Mardi dernier à travers un covoiturage épique et enrichissant, un pure-laine, un noir depuis 15 au Québec, une jeune fille de 19 ans et moi. Le propos? La séparation du Québec. Sujet haut en couleur et en éclats de rire, c'était bon, c'était drôle.
(Jumpcut jusqu'à aujourd'hui, 21 Mai)
10h35 le matin. J'ai mieux dormis que d'habitude, mes narines ne m'ont pas fait chier comme à l'habitude, je rentre à Montréal pour quelques temps, je rentre par la suite dans ce tableau pour tout l'été. Paix à mon âme.
Le fait d'avoir ré-organiser mon blog me fait du bien, j'avais besoin de changer la gueule de mon journal intime public. Casser la gueule de mes souvenirs . Désolé, c'était plus fort que moi. Le fait de déménager pour l'été m'emmerde royalement, mais j'vais pouvoir me ramasser assez d'argent pour partir en voyage.
Je n'avais pas de but précis en écrivant ce message, juste une envie d'écrire pour écrire, juste ça. J'ai terminé SAGA hier, et je crois que je vais ré-écrire une histoire bientôt, peut-être ce soir, peut-être demain. Qui sait.
À suivre...
Libellés : SAGA
Je me lève et prend mon sac, je laisse quelques pièces sur la table. D'un signe de la main je salue ce vieil オヤジ*. Je remercie mes amis et me dirige vers la porte, où elle m'attend à l'extérieur.
À peine la porte s'ouvre que le dling-dling s'amuse à faire monter en moi cette impression de déjà vu. Le stresse me prend à la gorge, cet enfoiré.
Elle est là, devant la vitrine du magasin de livres à droite du restaurant. Elle regarde je-ne-sais-quel bouquin, j'ai le souvenir qu'elle aime lire, mais je ne suis pas certain. Elle avance, ses pas ne font aucun bruit d'ailleurs, tout comme la rue qui est déserte. Le soleil se prépare à aller dormir. Les gens se font rares, elle est là, devant moi et me regarde avec l'oeil d'une petite fille.
- Bon! Dis-moi comment tu as fais pour me trouver? Tu en as parlé à Fabien?
Elle me fit oui de la tête, ses cheveux noirs et ses grands yeux me font penser à une petite poupée de porcelaine à qui on a enlevé son chapeau de paille... Elle s'avance vers moi, plus près. Puis, elle me dépasse, s'avance vers un poteau où un vélo rouge est posé, elle le prend et le ramène entre nous.
- Viens Mademoiselle, on va aller le porter chez moi et on ira se balader ensuite.
- Hans.
- Oh? Tu daignes à me parler? HAHAHAHAHAHAHA!
- Je ne te déranges pas? T'es sûr?
- Certain Sophie. Allez, viens, on va aller poser ton vélo, on aura tout le temps de se dire ce qu'on à se dire.
On avance, l'un et l'autre en silence, comme si tout ce dont on se parle sur la toile ne faisait plus effet, comme si le mur était présent juste pour nous faire réfléchir au délire de cette rencontre. Son vélo rouge se marie parfaitement avec ses boucles d'oreilles. Encore cette foutue brise qui sort de nul part, je ne sens alors rien, mais tout est là, concrètement, ses cheveux partent au vent, elle se retourne pour ne pas se décoiffer qu'elle me dit, je me mets alors à rire.
Arrivés devant la bouche du métro, je lui ouvre la porte battante. Des mégots de cigarettes jonchent le sol, nonchalamment. (Jump cut)* Une fois arrivé dans le wagon, elle pose le vélo contre la porte, s'assied, je fais de même à ses côtés.
On parle, seulement des bribes de conversations dans ce raffut qu'est le métro. Devant moi, le sol est poussiéreux, comme s'il avait été usé toute une journée par des mecs de la construction. Le banc seul contient quelque graffitis, Spy Ear Vocalize Silent* . Je ferme les yeux, fatigué certainement.
On parle, de plus en plus, tantôt des silences, tantôt des regards jetés à la volée.
Je ne me souviens pas exactement de ce qu'elle m'a dit, mais je l'embrasse sur la joue, je m'en souviens.
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Le reste du rêve est assez flou pour tout vous avouez. Je ne crois pas que l'on soit allés chez moi pour déposer le vélo et marcher un bout. Je me souviens que la fin de mon rêve, on s'en retourne en direction du restaurant, mes amis sont encore là. La magie du rêve veut que malgré les distances parcourues, le soleil n'a pas bougé, toujours sur le point de se coucher. Je lui dit qu'elle est belle. Je prend la poignée de ma main droite, ouvre la porte. Je me retourne, elle n'est plus là. Mais la brise oui par contre, elle vient se glisser dans mon t-shirt.
Fade-out* lumineux. Tout se trouble, puis. Plus rien.
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Notes au Lecteur que vous-êtes.
* オヤジ en katakana veut dire Oyaji, ou vieil homme. (Plus d'info sur Wikipedia)
* Jump cut ou saut de scènes. Passer d'un lieu à un autre sans transitions.
* Spy Ear Vocalize Silent - Googlez moi ça! Intriguant et vrai.
* Fade-out ou Fondre en fin. Passez d'une scène à un noir en fondu.
À suivre...
Libellés : オヤジ
Chers lecteurs, j'ai fait un rêve déroutant hier soir, j'ai rêvé à cette fille avec qui je discute sur un site de réseau social, Soleeloo qu'elle s'appelle.
Allons donc, voici mon rêve, je vais tenter un tour de force et de romancer un maximum ce qui s'est passé... Je vais ajouter des détails pour rendre le tout plus abordable.
(Je vous recommande de lancer le lecteur sur votre droite avant votre lecture, une sorte d'ambiance qu'ils disent)
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J'étais attablé avec des amis dans un restaurant asiatique sur l'artère principale de Mont-Royal, St-Denis. Devant moi, un bol de soba remplis au trois-quart, j'ai le souvenir que c'était bon. À ma droite, il y a avait Paulo, Renaud, Alexis, il me semble.
On mange, on parle, on ris, une belle soirée, il doit être environ 7h30 selon le soleil qui est à l'extérieur.
Le carillon de cette petite boutique/restau' sonne, un dling-dling comme tant d'autre sur cette artère aux boutiques parfois miteuses, parfois trop luxueuses. Un fin rayon lumineux passe par dessus mon épaule, et vient éclairer une partie du visage d'Alexis. Il plisse des yeux.
Le vieil asiatique pousse un Okaerinasai* du fond de sa cuisine, et s'avance vers l'entrée du magasin en me regardant dans les yeux. Il salue le client, un chuchotement et ce n'était pas du Japonais pour sûr.
Le vieux retourne dans son arrière-boutique et continue ses mélanges douteux, mais ô combien bon à manger, du moins, c'est ce que mes soba me font dire.
Les bruits reprennent de plus belle. Le vieux doit certainement faire mijoter quelque chose, car des bulles se font entendre. Alexis regarde Paulo et il commence à parler de je-ne-sais-quel-justu dans Naruto. Renaud mange goulument en les écoutant. Le parquet craque, le client doit certainement avancé et s'attabler tout comme nous.
Il faut croire que non, que le client, ou plutôt la cliente n'a pas faim. Une main se pose sur mon épaule droite, je tourne ma tête juste assez pour pouvoir regarder mon épaule.
Une main à la peau mate, au doigts longs et mince, une bague d'or à l'annulaire*. Je lève la tête et c'est un visage à contre-jour qui me sourit. Une odeur de vanille traverse la pièce. Mes compagnons continuent de parler, ils ont changés de sujet, mais là, le sujet m'échappe.
Pour tout vous avouer, à ce moment-ci, je me foutais royalement de ce dont ils parlaient, des bribes de conversations, des je-ne-sais-quel truc encore. Je ne sais plus, et je ne veux pas vraiment savoir. À la manière des films Hollywoodiens, une légère brise s'engouffra dans le restaurant et vint pousser les cheveux de la jeune demoiselle au dessus de moi.
- "Hans? Tu te souviens de moi?
- Je devrais?
- Pfff... C'est Sophie! De Netlog!
- HEIN? Qu'es-ce tu fais là? Attends moi à l'extérieur j'arrive!
Je me lève et prend mon sac, je laisse quelques pièces sur la table. D'un signe de la main je salue ce vieil オヤジ*. Je remercie mes amis et me dirige vers la porte, où elle m'attend à l'extérieur.
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Notes au Lecteur que vous-êtes.
* Okaerinasai veut littéralement dire '' Bienvenue ''
* Annulaire = Merci Wiki'.
* オヤジ en katakana veut dire Oyaji, ou vieil homme. (Plus d'info sur Wikipedia)
À suivre...
GROS PS: Je songe de plus en plus à changer de template pour PT, celle-ci m'énerve par son manque d'espace et ses restrictions miteuses. Peut-être passer à la plateforme WordPress. Qui sait?
Libellés : Oyaji
Arf - (C)(Touts les droits de cette expression sont attribués à Fabien Marcil)
J'ai regardé la Télévision aujourd'hui en mangeant des pommes de terres revenues à la poêle et avec de la viande - du filet mignon. Mon dieu que sa change du riz. Quoique, je dois vous avouer que c'est tout autant plaisant manger du riz, une fois que tu le maîtrise bien, on peut faire des foutues merveilles! Genre du Riz Canari! (Avec de la viande de Pigeon).
On achève avec un manque de sommeil qui se voit jusqu'au bout des ongles. On achève quoi au juste? Je crois qu'arrivés à ce point final, on bosse pour notre salut. On achève la session au CEGEP.
Et OH MY GOD que c'est rocambolesque et barbant!
Bien entendu, je vous passe tout ce qui s'appelle examen de culture en français, je vous passe le Dossier d'actualité. Bref, qui m'aimes saute quand le métro arrive, me suive! Allons donc, je finis bientôt, donc je n'ai pas à me plaindre.
Je me suis remis à prendre le temps d'écouter et de critiquer de la musique gratuite. Et sa soulage d'arrêter de stresser. En fait, j'en est marre de me plaindre que je stresse pour un rien.
Alors, que je regardais la télévision (Situation Initiale). Je me suis rendu compte que l'information que j'absorbais à la même vitesse que mes pommes de terres, était encore plus infecte que je ne croyais avoir déjà vu.
Devant moi, dans cette petite boîte à tube cathodique se presses un amas de gens à peau sombre. Ils crient, ils pleurent leur être. J'en peux plus, je regarde ma fourchette, perturbé. J'enfile une bouchée dans ma gorge qui bouffe des sanglots d'autrui. Je me la ferme, juste cinq secondes, pour écouter leurs pleurs.
Le cœur me remonte dans le gosier. Il veut sortir cet enfoiré. Il me dit de ne pas rester là, con et impuissant. Je me lève, déambule jusqu'à la poubelle sous l'évier et je crache de justesse ce que j'ai dans le bol alimentaire.
C'est à ce moment que ma vie est partagée entre le dégout et la rage.
À suivre.
[ Suite de la Partie 1 ]
- Bien! Maintenant que tout le monde est là, on va commencer.
- Okay.
- Mwouais...
- Est-ce que vous avez des sujets à aborder? Des sujets qui vous touchent?
- Pas vraiment nan.
- Boooooarf!
- Oui?
- Oui, j'en est un. J'ai trouvé notre voie.
- Ben non?!
- Oui, j'ai enfin trouvé ce qu'on va faire dans la vie, ce qu'on va bouffer en permanence. De la photographie, messieurs.
- Oh! Bonne idée! Et en plus, sa colle parfaitement avec ce qu'on veut faire: Partager nos idéaux et notre volonté!
- Mwouais mais là, on est-tu assez bons pour ça?
- Je nous ai inscrit à un concours de photo sur voir.com, 'faut bien commencer quelque part, non?
- Oui, tu as raison, tu peux nous montrer le lien de notre photo?
- Oui voilà. >>> [ notre photo ] et [ celles des autres participants. ]
- Ouais, t'as ben raison, on a nos chances!
- T'es sérieux là? Ou tu te fous encore de moi?
- C'est bon! On se calme s'il vous plaît! *se lève, et fais signe des mains de se calmer* Merci...
- Hey wow là! J'étais sérieux!
- C'est ok, désolé...
- Et bien! La vie est mouvementée ces temps-ci messieurs, que se passe-t-il?
- On sort d'une histoire d'amour qui nous a fait perdre des écailles, t'as pas l'air au courant Hans...
- Oui oui! Je le savais! Mais il faut bien arrêter d'en faire toute une histoire non?
- Ouais, mais criss'! C'est pô comme si c'était rien non plus! On l'aimais cette fille nôn? Pis là! P'us rien! Sans prév'nir! Sans dire bye... Criss' que sa gosse, 'pis pas qu'un peu!
- Attendez! Je vous stop cinq secondes! Regardez en face, dites moi qu'on a pas de potentiel! Allez-y! Dites moi qu'on n'a aucune portes d'ouvertes!
- Ben là...
- Ben là, quoi? Alors? Vous voyez, vos arguments sont sans fondements! On a de la chance, on est pas laids, on a un talent en photo! Allons Bon! Il ne manque plus que l'on soit riche!
- T'as raison Hans. Pour une fois, je crois que si on se bouge un tantinet le cul. *rire* On peux faire quelque chose de bien, quelque chose de bien pour notre futur.
- D'accord avec toi.
- Ben vrai dude!
- Je vous propose un truc, si on se débrouille bien, on peux chercher sur internet des concours de photo, et même avec un peu de chance, trouver un travail de photographe avec rémunération... Sa vous dit?
- Ben Qu'in!
- Allez! J'suis preneur!
À suivre...
(J'attends vos impressions. Si vous aimez, je vais continuer dans cette voie-ci, sinon, je retournerais au format initial du message blog.)
- Bon, tout d'abord assis-toi Hans, fais comme chez toi.
- Merci.
- Tu veux quelque chose à boire?
- Non merci, sa ira. *sourit*
- On va commencer si tu le veux bien? Tout d'abord, comment va ta vie ces temps-ci?
- Ma vie?
- Oui, la notre.
- Elle va bien, elle se prélasse. En fait non, elle n'a plus vraiment le temps de se prélasser parc...
- Attends! Je t'arrêtes, je ne veux pas que tu me dises pourquoi, je veux juste que tu me dises si ta vie va bien, ou non, d'accord?
- D'accord.
- C'est bon, on continues alors.
- Bon.... MA VIE va bien, heureux là? *Fais oui de la tête* Ahem, alors bon, oui notre vie va bien. Ces temps-ci j'ai relativement assez de boulot pour ne plus avoir le temps de penser à mes problèmes, c'est un bien pour un mal.
- Ok. Est-ce que tout va bien de partout?
- Oui et non, c'est normal non?
- En amour nan?
- En effet en amour, mais bon, tu le sais aussi bien que moi n'est-ce pas? *rire*
- *rire*
- C'est vrai! Mmmh... Des moments heureux en tête pour te remonter le moral?
- Oui! Toujours! Je ne me laisserais pas abattre si facilement! Des moments heureux... Mmmh. Oh! Je sais! Le colloque Écolo'! C'était une de mes plus belles journées! La nourriture était excellente!
- Mmh'k...
- Ah oui! Et puis on s'est vraiment marrés plus d'une fois avec un ami à moi! C'était dément! Oh! Aussi j'ai passé une très belle journée avec elle, surtout le repas du soir, ou quand on étais touts les trois sur le divan avant le souper! C'était trop drôle! Bref! De beaux moments! Merci encore Hans!
- Ne me remercie pas voyons! On fais équipe non?
- Oui, tu as raison.
*Cogne à la porte*
- Tiens! Sa cogne à la porte! Attendez! J'arrive!
- Oh non... *Voix basse* Pas lui...*/Voix basse*
- Oh! Salut! Comment va-tu?
- Salut, qu'es-ce vous faites?
- On parlait...
- Tu veux te joindre à nous?
- Ben... 'veux pô déranger.
- Tu te soucis de moi maintenant?
- OK! Bon! COMMENT VA LA VIE? *tente de calmer la tension*
- Euhm...
À suivre...
J'allais écrire, mais écrire quoi au juste? Écrire pour qui? Pour Disserando? Pour Lionn? Pour mon ex' qui passe des fois sur Pt?
Je ne sais plus, je ne sais pas, en fait.
Prémices à une semaine en bas voltage. (Intertitre)
- Cette semaine, j'dois me foutre dans la peau d'un Romantique du seizième -Aie, seizième fut douloureux à écrire- pour mon cours de techniques de créativité.
Rien de mieux pour quelqu'un qui commence à ré-ouvrir les yeux sur un monde déjà grisâtre! Allons bon! La vie n'est pas, plus, si morne que ça!
J'ai un D90! Des potes formidables! Une vie sociale relativement -le relativement prend tout son sens avec le terme social- équilibré (Je m'excuse Alexis, toi aussi Paulo). Une situation de célibataire -chose dont je me passerais volontiers-, et je crois que c'est à peu près tout?
Disserando -9, soit dit en passant- m'a fait remarqué que bien des membres de la gente féminine ont tournées le regard vers moi à mon passage! Quoi de mieux pour vous remonter le moral quand il faut le descendre...
Alors, tachons d'utiliser mon horoscope à juste escient pour me casser le moral!
-J'vous en pries! Un 5! Un 5!-
Fin du propos anti-déprime.
Sautant du coq à l'âne! (Intertitre)
Je vais avoir encore une fois une fin de semaine relativement chargée! Diantre de bougre!
-Au pire...?- Occupé le Vendredi par je ne sais quoi encore.
Le lendemain, c'est du boulot qui m'attend jusqu'à filer à un tournage -où j'interprêtes un homosexuel, je n'ai rien contre eux, mais diable quel rôle... évoquant?-. Dimanche, rebelote avec le boulot, et pour finir dimanche soir, c'est une sortie au programme...
Mes enfants, ma fin -faim?- est proche.
- Chiottes, j'ai pas de chute -
- Hey Crisss! Tu gosses avec tes Appartés toé! -
- Désolé... -
- Naon! J'en veux pô de tes escuzes! Criss de fou! -
- Ok... Voilà où j'en suis arrivé, à me battre avec le sauvage qui est en moi. -
- HEY! -
- C'est bon, j'ai pigé; désolé. PERSÉCUTION! -
À suivre...
(Toujours disponible comme fond d'écran, utilisez la fonction centrer l'image dans votre Explorateur.
Merci de laisser un commentaire si vous l'utilisez, pour que je puisse comptabiliser les téléchargements.)
Il me prend par le collet et tente de m'emporter loin de ma trajectoire - en vain - pour pouvoir une fois de plus, me montrer que là-bas aussi il y a une partie de lui que m'attend, et me réserve le même sort.
Neuf heures trente, et je sors du CEGEP (lycée) avec ce Fred, un ami sympathique et avec qui il est toujours bon de parler. Un chouette type, un type honnête, un type, un profil type? Non, son profil n'a rien de typique, il est asiatique - du moins, je présume -, et je l'ai rencontré par le biais de l'équipe d'improvisation dont je fais partis.
C'est après match d'une heure, une heure et quart environ, que j'attaque cette bourrasque. En fait non, Elle m'attaque. Non, je vous jure - ou pas? - que je ne recommencerais pas cette plainte de merde qui m'assaillit parfois.
Non, en effet, la vie est bien ces temps-ci, et j'apprécie ce p'tit cadeau qu'on me fait. Oui, elle est belle la vie quand elle veut. Eh oui, je l'aime, je m'aime, j'aime. Un point c'est tout. Pour plusieurs raisons - Yark, ça sent la dissert' en français, ou l'analyse en Histoire du Ciné' -, la première est simplement intérieure, je ne sais pas, je le sens, c'est aussi facile que ça!
La deuxième, c'est ma moyenne d'histoire de l'art qui vient de remonter joyeusement! Oui, j'ai fait foutrement fort sur ce coup là! De 50% de moyenne (À cause d'un 45% en examen), je suis remonté gentiment à 71% (grâce à un 92%). Oui, je suis fièvre de moi! Et j'avais prévu ce tour de passe-passe! HA!
Je présume que ce laisser sur une note si brusque ça choque? Mmmmh oui il me semble... Alors, je vais continuer un brin, un brin de scie à travers la chose que l'on appelle destin.
C'est en m'apercevant que ma joie n'est reliée qu'à moi-même qu'une amie triste me rend triste de ne pas pouvoir lui partager mon bonheur! (Trop généreux qu'ils disaient).
À suivre...
Le Baghiris, ou crêpe à milles trous, est un plat Africain, un dessert si je ne m'abuse, jamais testé, mais je crois que c'est pour bientôt.
Allons-y, commençons le bal habituel du ''Désolé-Je-n'ai-pas-posté-sur-mon-blog-parce-que-j'avais-rien-à-faire''.
En fait non. Je n'ai pas vraiment d'excuses, en fait je n'en n'est aucune. Je n'avais juste rien à dire. Mais là oui, il m'est arrivé un brin de lucidité.
Et je crois que ma vie sentimental est pas à sa forme, en fait j'en sais rien, je vais bien oui, car je suis lucide, je vois dans quelle direction je me dirige, mais mon cœur m'emmerde, et me dit d'aller lui dire qu'elle aille se faire fou*re si elle n'est pas contente.
Et j'ai particulièrement envie de lui dire.
Mais je ne le ferais pas, du moins, pas de cette manière si directe, mais bon.
J'ai reçu un mail de ça part. Je vous le retranscrit mot pour mot.
[ Je dois te parler. Est-ce que ce serait possible de se voir demain ? Merci,
Son nom ]
(Vous comprendrez que je n'ai pas mis son nom, prénom, par pur respect de l'autre sur internet patati-patata-et-mon-cul)
Donc voilà! J'admets que cela est pessimiste de penser que tout va foirer à cause d'un simple message, je devrais en être heureux. Mais cette fille n'a pas pour habitude d'utiliser les mails, ou encore même un client IRC (MSN) pour discuter, ou faire passer un avis.
Elle attend simplement d'être en avant de la personne pour lui dire.
Sinon? Comment allez vous? Je n'ai ni nouvelle de vous chers lecteurs, ni impressions. En fait je m'en fiche relativement, vous absorbez mes lignes gratuitement comme-ci cela vous apporter quelque chose d'utile.
Mais à quoi vous raccrochez vous? À ma peine? Il est vrai que quand une personne est triste, ou mal-en-point on a plus de facilité à aller vers elle. Mais par contre, si cette personne va bien, on s'en fout complétement, vu que l'on a rien à apporter, ni à recevoir.
Triste besoin de compenser un vide.
(J'adore cette phrase, comme dans les films)
À suivre...
Bonjour à toutes & à tous.
Tout d'abord, je tenais à vous présenter mes excuses, car je n'avais pas mis de nouveaux messages sur mon blog, et ce du fait que je n'avais pas de souris qui était complètement fonctionnelle (une souris à bille, c'est pas la joie). Donc voilà pour le prélude!
Maintenant, je suis sûr et certain que vous mourez d'envie que je vous racontes ma vie? Allez! Ne faites pas les timides! Je sais que vous en avez une envie mortelle! Bon! Je me lance!
Je suis de retour à Montréal depuis le 6-7 Décembre, tout c'est bien passé, j'ai revu mes potes d'ici, et bref, j'ai re-découvert une personne en qui je n'avais plus vraiment grand chose à connaître... Et ceux, grâce à l'anniversaire d'un amis. (9, pour les habitués).
Alors, j'ai appris à voir cette personne sous un nouvel angle, comme tout le monde devrait faire lorsque qu'on se retrouve face à une impasse sociale. Et de fil en aiguille, on s'est rapprochés, et c'est une personne fabuleuse.
Encore une fois, je constate qu'il faut un équilibre à chaque chose. Donc pour ne pas dérober à la règle, cette douce personne (Appelons la Elle, car c'est une fille) est consciente de mes sentiments HAHAHAHA! Mais ce n'est pas vraiment cela le plus grave dans l'histoire, je crois plus que c'est le fait que la Miss' ne sait pas vraiment ce qu'elle veut.
(Ou du moins, c'est ce que j'en conclu! ^^'')
Bref, très cher lecteurs, nous voilà arrivés face à une impasse. Soit le personnage principal coule dans son délire virtuel - quoique je doute que tout cela arrive -, ou alors, il décide de prendre les choses en main et d'arrêter de se laisser couler lui même.
Optons pour la deuxième solution, c'est certainement celle qui nous donne toute l'extase de lire ces petites lignes en sentant respirer la volonté d'agir du personnage et de son moral de merde en ces jours de merde. (Oups, trop de mer** dans une phrase!)
Bien. Je vous laisse déguster ces quelques dernières lettres en ma compagnie, je vous laisse, je vais aller dessiner pour passer mon mal d'être - un peu romantique du 16ème Siècle le type -.
( Agrandissez pour mieux apprécier les détails ) (Pomme + Clique / Ctrl + Clique)
À suivre...
Bon Matin à tous!
Nous voici le 15 Janvier 2009, je vous souhaite donc une bonne et belle année 2009, bref avec toutes les modalités qui viennent à l'accoutumée.... Santé, bonheur, joie, réussite, et j'en passe...
C'est très certainement une période de l'année assez moche je trouve, car il faut faire l'hypocrite en public, et tout le monde fait la même chose, et pourtant il n'y a que très peu de séparation d'amitié ou quoique ce soit!
Bref, on voit réellement que nous ne voulons avoir une bonne conscience sociale, et c'est la seule chose que nous avons réussis à faire, c'est dire bonne année comme si on aimait réellement la personne!
C'était ma phase montrons-les-choses-comme-elles-sont-réellement. Je voulais juste vous avertir que je ne posterais pas avant un petit bout de temps. Le fait est que j'ai oublié ma souris et mon clavier chez mes parents, alors je dois me contenter d'une souris à bille (Ce qui est ma foi exécrable) et d'un clavier que j'ai du acheter.
Le clavier est Ok, quoique limite des fois... Mais la souris, c'est simplement pas vivable! Je ne peux même pas jouer tellement elle va mal, et pour fermer une fenêtre ou un onglet, c'est ving-cinq minutes de concentration avant une réussite bancale.... Et dans le pire des cas, c'est un Alt + F4 expéditif qui finit le travail!
Alors il n'y aura certainement aucun montage visuel avant un petit bout de temps, du moins pas avant que je n'ai une nouvelle souris!
À suivre ...
Avant de commencer, je tenais à dire que chacune des images mise en ligne sur ce blog font parties de ma collection de création. Vous pouvez les utiliser comme fond d'écran, elles sont par contre prévues pour être affichées en mode centré, et non en mode élargie. Elles sont toutes un concentrés de singularité, et comme tout le monde j'ai mes propres vagues de créations. Donc, vous avez un concentré de création en plus d'un surdose d'émotion, le tout longuement revenu à feu doux avec de la musique.
Donc voilà, c'est à peu près tout pour ce qui parle des créa's. Comme vous avez pu le constater, ma vie prend un malin plaisir à me faire tourner la tête... Bref, ces temps-ci, je dirais que la vie va mieux, que la vie peut sembler belle quand on y fait attention.
Cela fait maintenant un an - en fin presque - que je suis sur un site communautaire intitulé Netlog, et il contient lui aussi des vagues, des vagues que l'on va appeler phénomène, parce que c'est devenu un point tel que c'est pas vraiment décan.
Allons avec un exemple. Tout d'abord, la page d'accueil est constitué d'un Spotlight, là où avec l'utilisation de quelques crédits virtuels on peut placer une photo pour que tout le monde la voit.
Bref, pour en revenir à mon exemple, je tombe sur la photo d'une fille de quinze ans qui se fait poser en maillot par son ami(e) (je présume), et voilà je crois que je n'ai pas besoin de vous dire à quoi ressembler les commentaires.
Pourquoi une telle prise de position bâtarde comme celle-ci? Parce que j'en est plein le C** de voir des filles se foutre à poil sur des sites de rencontres qui servent à la base pour échanger. Pu***n, si j'ai envie de voir des femmes nues y a des sites porno qui existe pour ça nan? Et c'est pas les gratuits qui manques!
Désolé pour cet accrochage. Sa me met hors de moi.
Pour passer sur un sujet plus joyeux, je me rends compte qu'avec beaucoup de persévérance, un peu d'humour et beaucoup de volonté on peut faire évoluer une personne, et ce en plus la personne vous remercies en retour c'est fabuleux!
Je souhaite de tout mon cœur que cette personne se rende compte qu'elle a quelque chose de très fort en elle, et que ce qui lui manquait c'était juste quelqu'un pour lui tenir la main pendant un moment, alors je crois que je vais remplir ce rôle. Si elle accepte bien sûr...
- J'aimerais vous remercier chers lecteurs de continuer à visiter mon blog, car je sais que même si je suis pauvre en commentaires et appréhension de votre part, vous appréciez mes écrits... Du moins, je l'espère. -
Merci Encore.
À suivre ...